L’aube pointée timidement a l’horizon et le campement établis a la va vite la veille était déjà agité par plusieurs rixes opposant, de manière très amical, plusieurs peaux verte qui voulaient savoir « ki s’ré l’boss pour la baston ». De toute part les orques commençaient a s’agiter, essayant de retrouver la bande a laquelle on les avaient assigné pour la bataille a venir, recherche bien souvent interrompus lorsqu’un orque plus gros les réquisitionnés pour faire partie de sa bande.
Gishnak Bris’kran, observé les derniers préparatifs de la Waaaagh qu’il avait mené jusqu’ici particulièrement fière de la ruse qu’il avait mis au point. Ses troupes avaient totalement isolé la petite cité qu’il comptait prendre d’assaut. Aucun messagers n’avait puent échapper aux orques et gobelins qui avaient encerclé la bourgade. Réussir a forcer ses troupes a suivre a la lettre cette première étape était un véritable tour de force, Gishnak le savait et avait réussi a le faire comprendre aux autres en distribuant forces baffes et coup d’boulle aux fortes têtes qui avaient une autre opinion sur la situation. Mais maintenant que l’heure de la baston était proche, tous les orques se préparé afin de pouvoir être les premier a allé tuer les « zoms » qui leur servaient aujourd’hui de cibles.
Les orques avaient déjà préparé leurs armes et envoyé les gobelins nourrir, ou servir de nourriture aux sangliers. Les meutes de squigs s’agitaient alors que les snotlings montaient sur les barrières, érigées à la hâte, et narguaient les créatures. De temps à autres un snot tombait dans l’enclos au grand plaisir des squigs comme des autres snotlings qui appréciait de voir d’autres peaux vertes en mauvaise situation. Les chevaucheurs de loups apprêtaient leur montures au combat, ceux n’ayant pas étaient assez prompt a monter sur le dos de leur loups pour échapper aux mâchoires des animaux vite remplacé par d’autre gobelin ravi de leur promotion au sein de la Waaaagh. De si petits incidents étaient tous ce qu’il y a de plus banal et ne gênaient en rien la progression de la Waaaagh.
Une agitation comparable régnait autours des machines de guerres et des chars que les orques avaient emmené avec eux. L’un des chefs orque tentait de faire tenir sur son char sa bannière personnelle aux proportions gigantesques. Il était aidé d’une demi douzaine de gobelin qui maintenaient tant bien que mal la hampe en place, plusieurs autres gisant a coté d’eux assommé après avoir reçu un coup vengeur de leur boss qui n’avait pas apprécié le peu de motivation dont ses assistants faisaient preuves. D’autres peaux vertes préparaient leur nouvelle invention à la bataille, ils avaient spécialement créé cette catapulte pour la prise de cité fortifié et compté bien en faire usage.
Gishnak Brise’kran se saisit de son énorme hache et partit a travers le campement rugir ses ordres au chefs de différentes unités accompagné de Gurln et Gurlm, ses 2 gardes du corps et de sa suite. Il s’approcha d’une masse de peau verte ou le ton commençait à monter, afin de leur donner une autre occupation que se taper les uns sur les autres. Il choppa le plus gros des orques de la bande et le contraint a l’écouté en lui assénant un monstrueux coup de latte en hurlant
« -Kalmos ! Cé lé zoms kon va klaté ! Kagan, t’va allé vec té gars d’l’ote coté du cam é vou aplé lé zotres ! Cé presk l’heure ! »
En effet, il n’eut guère a attendre longtemps avant d’entendre les tambours du second camps résonner a travers la brume matinale. Aussitôt Gishnak ordonna aux lance roks de tirer une première salve « pour réveillé les zoms ». Les premiers rochers ébranlaient les murailles de la cité alors que le seigneur de guerre orque consulté les ardoises que le coursier lui avait ramené et qui contenaient les notes que les plongeurs de la mort avaient pris leur de leurs vol de reconnaissance.
Gishnak releva la tête, profondément ennuyé par tous ces rapports, d’autant que l’immenses majorités d’entre eux n’avaient aucun sens. Il regarda en direction de murs fortifiés de la cité et exécuta un gobelin qui passait a coté de lui d’un coup de häche, frustré : les tirs de la horde n’avaient toujours pas endommagé la muraille rendant tout assaut inutile pour le moment. Gishnak se mit a tourner en rond en réfléchissant, ce qui fît s’écarter de lui tous ceux qui se trouvaient là. Le boss avait la désagréable habitude de cogner tous ceux qui lui tomber sous la main pour mieux réfléchir.
Soudain, il bondit en direction d’un gobelin de la nuit et le pris par la col afin de l’amener a hauteur de sa tête et lui hurla a quelques centimètres du visage.
« -Va dir’ au zot’ qu’veu klé Lance Krocs tir tout d’suite ! »
Cela dit, il jeta le gobelin a terre et se mit a marcher de long en large en attendant de voir ce dont la dernière création des gobelins de la horde était capable. Le résultat ne se fit pas attendre : bientôt la première salve fut prête a être tirer sur la ville. Sans plus attendre, les Lance Krocs firent feu en direction de la cité. Les machines de guerre étaient l’une des rares utilités que le Seigneur de guerre reconnaissaient aux gobelins, et les Lance Krocs lui plaisaient tout particulièrement. Il s’agissait de Lance Roks que les gobelins de la nuit avaient modifié pour qu’ils soient actionnés par un troll et dont les pesant projectiles étaient remplacé par des Squigs équipé d’un parachute rudimentaire. L’idée était simple : le projectile au lieu de détruire ce qu’il atteignait semait la panique dans les lignes ennemis. Et si le parachute refusait de s’ouvrir, le Squigs causait tout de même des dégâts en s’écrasant…
Les premiers fouets claquèrent sur le dos des trolls qui projetèrent les squigs qu’ils avaient chargés sur les catapultes dans les airs. Gishnak regarda les squigs s’élever dans les air et se mit à les compter :
« -un, deux… trois, …, … qua-quatre, …, cinq, …, …., …, bokou...»
Continuant d’observer la trajectoire des Squigs, le Seigneur de guerre orque vit avec grand plaisir que l’invention de ces vermines de gobelins fonctionnaient : certains parachute s’étaient ouvert et les projectiles dérivées lentement vers l’ennemi. Les premiers Squigs disparaissaient a peine derrière les murs de la ville qu’une seconde salve était tiré. A part la main d’un troll gobé par un projectile récalcitrant et un gobelin qui voulait essayé la catapulte aucun incident particulier n’était a déplorer. Gishnak donna l’ordre de poursuivre le bombardement et s’éloigna au trot afin de préparer ses troupes à l’assaut.
A suivre...