Sergent Cédric

Moi j'étais avec toi sur MSN au moment ou je lisais alors pas besoin de dire que c'est toujours aussi génial !!!!!!!! Sinon se post me servira de marque page merci de ne pas le suprimer pour raison de flood inutile.

Tu est vraiment génial elende!!! J'adore ce récit sur des GIs aux antipodes des miens ^^...

17 :31 PM, stationné sur 2 véhicules civils aux abords de « l’Emperor’s Asskick »
La chimère finissait de s’immobiliser et les derniers crissements métalliques, râles d’agonie des véhicules que nous venions d’écraser sous nos chenilles, mourraient lentement. La route avait été tranquille, bien que Gorek du user a plusieurs reprises du klaxon pour éviter d’emboutir des usagers distrait qui ne remarquaient pas le tank surgissant d’étroits passage sans jamais ralentir. La délicate attention de notre mékano ne suffit toutefois pas a calmer les ardeurs de tous et Johas tint a nous en faire part a la sortie du véhicule.
«-Sergent, cette conduite est inquali…
-La ferme Johas !
-Pour une fois sergent il faudrait le laisser continuer.
-C’est vrai qu’il y a beaucoup de chose a dire sur une certaine « amélioration » apportée a notre chimère…
-Bon les gars j’admet : jumeler le klaxon et le multi-fuseur n’est PAS l’idée la plus brillante qu’ait eu Gorek. Mais avouez quand même que ça dégage bien mieux la route qu’avant !
-Je dis pas sergent, mais faut quand même avouer qu’avant on heurté plus de monde MAIS il y avait parfois des survivants. Maintenant non seulement on continue de foncer dans le tas mais en plus on liquéfie tout ce qui se trouve devant nous.
-Gorek, tes coéquipiers sont visiblement rétrogrades et ne comprennent pas qu’il faut savoir concéder deux ou trois choses pour que la technologie progresse. Il va falloir supprimer cet audacieux jumelage et trouver autre chose, je te fais confiance. Occupes toi de ça, Johas et les Xerwas qui ne boivent pas pendant le service restent avec toi. Les autres viennent avec moi, on va recruter.

17 :48 PM, devant « l’Emperor’s Asskick »
Rien n’avait changé depuis notre dernier passage, « l’Emperor’s Asskick » restait le lieu ou se rassemblait toute la vermine de la cité. Toute l’économie du quartier s’était développée autour de la célèbre enseigne. Là on pouvait trouver au grand jour diverses professions qui ailleurs essaierait a tout prix de masquer leur nature. Parmi les enseignes au néon clignotante on pouvait par exemple trouver celle de Ulter, l’usurier représentant de façon fort opportune un homme jeté dehors d’un violent coup de pied a l’arrière train. A coté de l’échoppe de l’usurier se trouvait celle de Xertar son associé, un assassin notoire. Ulter prête l’argent qui sert a payer Xertar, Xertar exécute le contrat et vole sa victime puis Ulter prend jusqu’au dernier sous de son client avant que Xertar ne l’élimine pour couvrir l’escroquerie. Cette alliance était l’une des plus judicieuse et fructueuse du quartier ce qui n’aurait pas manqué de susciter la jalousie si l’assassin n’était pas si compétent dans son domaine.
Mais l’élément le plus connu de cette rue était bien sur l’entrée de « l’Emperor’s Asskick » qui aurait a elle seule suffit a condamner ce monde si sa nature était parvenue aux oreilles de l’inquisition. La façade du bâtiment était peinte dans une couleur dorée pour représenter le trône de notre bien aimé Empereur et au milieu de cette façade, au niveau de la rue se trouvait une paire de fesse surdimensionnée. Entre ces deux fesses se trouvait la porte d’entrée du bar, qu’il convenait bien sur d’ouvrir d’un violent coup de tatane en hommage au nom du bouge. En parfaits habitués de l’endroit, mes compagnons et moi-même lattèrent vigoureusement la porte avant d’entrer.

17 : 48 PM, rez-de-chaussée de « l’Emperor’s Asskick »
La porte de « l’Emperor’s Asskick » s’ouvrit brutalement devant mes hommes et moi, heurtant violement un mur et projetant au sol tous les cadres qui y était attaché. L’intérieur du bar baigné comme a l’accoutumé dans une épaisse couche de fumée a travers de laquelle la faible luminosité de néon au couleurs criardes peinait a percer. Le sol était jonché de débris de diverses origines : tessons de bouteille, barreau de chaise, barre a mine et d’innombrable autres instruments contondants plus ou moins traditionnels. C’est la fréquence des rixes se déclenchant en ces lieux qui avait forcé le personnel ainsi que les clients à accepter cet état de fait. Et tous y trouvaient leur compte : les habitués disposaient en permanence a portée de main de quoi régler leurs différents et le patron n’avait plus a intégralement reconstituer son mobilier après les inévitables affrontement quotidien.
Les habitués avaient tous détournés le regard en direction d’un panneau d’affichage électronique au dessus de la porte qui a chaque entrée noté la puissance du coup de pied donné dans le fessier impérial pour ouvrir la porte. Lorsque la violence de la secousse eut finit d’être analysée, le verdict tomba enfin. L’alarme se déclencha bruyamment, parodiant « God Save The Queen » dans une version élaboré par le patron du bar lui-même qu’il avait intitulé « Emperor Save His Ass », des confettis furent lâchés par la trappe prévu a cette effet et le résultat apparu dans un orange clignotant particulièrement criard : « Horus’ Assquick : 10 000 ans de bain de siège ! ». Pas mécontent de notre prestation, mes hommes et moi pénétrâmes a grand pas dans le bar, les bras levé pour tenter de calmer les acclamations de la foule en délire qui n’avait pas assisté a notre performance depuis longtemps.

« -Merci les gars ! Merci ! Vous nous aimez, c’est normal ! Mais c’était pas la peine de tous vous lever pour nous accueillir, une donation en espèce aurait suffit.
-On ne s’est pas levé, le mobilier n’a pas était remplacé depuis que vous avez tout ravagé lors de votre dernier passage.
-Aaaaaah, ça… En fait il y a une explication tout a fait logique a cela, rangez moi tous ces instruments contondants et je me ferai un plaisir de tout vous expliquer.
-Ca a intérêt a être convainquant si vous voyez ce que je veux dire…
-Bon, tout est arrivé un après-midi orageux…
-Sergent, c’était le matin et il faisait très beau…
-Euh… C’est sur Merak? Je m’en souvient pas comme ça… Bon, nous dirons donc que c’était une après-midi matinale magnifiquement orageuse. Mes hommes et moi-même…
-Vous seul ! Je veux pas être mêlé a ça !
-Simeon, un problème qui touche votre sergent touche toute l’unité.
-Non
-Si
-Rêve…
-Si
-Certainement pas
-Si
-J’en doute
-Si
-Refus catégorique
-Tu vas me le payer tu le sais ça…
-Rien a foutre
-On verra ça plus tard… Je suis donc venu ici comme, a mon habitude, afin de louer mes services au plus offrant. Offre limité aux actions en sous-main et ou la discrétion n’est pas importante. Offre non cumulable avec une quelconque réduction, la maison ne fait pas crédit, elle accepte les boulots louches et ne pose pas de question.
-C’est pas ce qu’on vous demande sergent…
-La ferme Lathes, un peu de pub n’a jamais tué personne. En arrivant je me retrouve nez-a-nez avec la honte de la profession : des mercenaires qui bossent en groupe,
-Nous aussi on agit en groupe sergent…
-Week-end et jours fériés,
-Comme nous quoi,
-A des tarifs défiant toute concurrence
-Oh les chiens !
-Qui proposent des offres réservées aux clients fidèles,
-Ouais, vous allez tous les faire quoi…
-Et qui m’ont piqué un client sous le nez ! Un super contrat que j’avais presque bouclé pour une somme colossale, ils me l’ont tiré en proposant un tarif abusivement bas.
-Ouah, dur pour vous sergent…
-Simeon, je te conseil de la fermer, je te supporte depuis tout a l’heure mais la c’est trop ! J’ai donc saisit le conseil de la concurrence pour qu’il se penche sur ce cas litigieux. Pour m’assurer qu’une fois penché il ne rate aucun indice qui pourrait se trouver ailleurs qu’au niveau du sol j’ai pris sur moi de tout briser et d’infliger une peine de mort par anticipation aux auteurs de cet honteux détournement de client.
-Vous avez pas trop compris ce que c’est que se pencher sur une affaire.
-Simeon, tu as gagné, tu m’as poussé a bout !
-Je suis moooooooooort de peur Sergent….
-Comme je m’en veux terrrrrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiblement d’avoir saccagé le bar je tiens a apporter une participation financière au rachat de mobilier
-Vous faites quoi ????!!!!???
-Tu as parfaitement entendu Simeon. Je tiens a leur offrir 11684 Crédits
-Eh !!! Vous pouvez pas fai…
-Ferme la Simeon !!!
-Ouais, laisse le faire ! On en a marre de rester debout !
-Mais c’est ma solde et…
-L’origine de cet argent n’a aucune importance, c’est ce qu’on pourra en faire qui compte.

Insensible a ce noble geste, Johas tenta maladroitement de se saisir de l’enveloppe au moment ou je la tendait au patron du bar, avant d’être gentiment maîtrisé d’un coup de batte de base-ball au menton, deux coups dans les genoux, un au ventre puis un dans le dos pour faire bonne mesure. Robuste malgré une apparence chétive, il prit tout de même le temps de maudire chaque personne présente avant de finalement abandonner la lutte sous le poids de 3 clients qui avaient décidé de l’utiliser comme banc. L’échange c’était parfaitement déroulé et nous nous apprêtions a en revenir a la raison de notre venu quand un homme dévala l’escalier a toute vitesse, aidé en cela par la première marche qu’il avait eut le bon goût de rater. Les discussions entre clients pour savoir qui garderai son portefeuille cessa lorsque, finalement, il apparut qu’il avait survécu à sa chute et qu’il releva son visage ensanglanté pour lacher, l’air désespéré cette phrase qui glaça le sang de tous ceux présent dans le bar : « Almoul est mort… »

Je sais qui l'as tué! Sur la porte il y a écrit "Omar Ben samalah gatti di scruti de machinot dupont de la villardière con rubinhinho del segrado m'a tué" avec son propre sang ^^...
Bravo, continue !!

Euh, c'est pas prévu ça Glloq, c'est une histoire sérieuse ici ! Euh... Je suis plus la, lisez ça plutot :


La nouvelle du décès d’Almoul avait jeté un froid dans le bar. Plusieurs clients avaient immédiatement choisis de vider les lieux, d’autres avaient essayé de trouver quelqu’un pour payer une tournée, beaucoup étaient retourné boire à la mémoire du disparu, ou pour fêter sa mort selon la nature de leur relation avec Almoul. Mes hommes et moi mêmes étions en proie à la plus grande confusion. Je rangeais discrètement le portefeuille prélevé sur l’homme qui avait dévalé les escaliers alors qu’il était inconscient et je me décidait enfin a poser LA question qui nous torturait tous :
« -C’était qui Almoul ?
-Aucune idée.
-Jamais entendu parler
-Ce nom m’est totalement étranger.
-Messieurs, ce n’est pas le plus important.
-Et qu’est-ce qui est important Sergent ?
-Ce qui compte Merak c’est qu’un homme a été tué et qu’il faut élucider ce mystère !
-On a autre chose a faire sergent.
-Merak, en vertu de l’article 11 alinéa b du code pénal, non, on a rien de mieux à faire.
-Et il raconte quoi cet article ?
-C’est un projet de loi que j’ai personnellement proposé et qui fut adopté après que j’eusse placé avec l’aide de Gorek des charges d’explosifs sous les bancs du sénat. Après avoir précisé qu’un vote négatif entraînait automatiquement l’explosion notre loi fut accepté a l’unanimité et jamais abrogé grâce a des séries d’attentats aux moments adéquats.
-Ouaip, bon, on s’en fout : c’est quoi cette loi ?
-Cette loi dit qu’en cas de meurtre, la totalité des dettes de jeu de la victime doivent être remboursées par le meurtrier.
-Et en quoi ça nous concerne, on le connaissait pas Almoul.
-Et ça personne ne le sait. Donc on va retrouver le meurtrier et lui faire payer les 1.2 millions de Crédits que nous doit Almoul. N’est-ce pas les gars…
-Oh, CES 1.2 millions…
-Je crois m’en souvenir maintenant
-C’était pas plus ?
-C’est bien possible, on verra ça en temps voulu. Maintenant que nous nous souvenons tous de ce très cher Almoul…
-1.2 millions c’est pas si cher…
-Ce très bon marché mais toutefois bien assez lucratif Almoul donc, pour faire plaisir a Merak. Il va nous falloir trouver qui est le pigeon…l’assassin, afin de le faire cracher ses… de l’envoyer expier ses crimes en prison.
-J’aime la Justice !
-T’étais pas très motivé avant qu’on parle rémunération Lathes…
-Faut bien qu’elle puisse se payer ses frais la Justice… »

Pour une fois parfaitement d’accord sur la marche à suivre, notre troupe se sépara en 2 groupes afin d’agir le plus rapidement possible. Merak et Lathes choisirent de rester au rez-de-chaussée et de tabasser les clients encore présent pour recueillir le plus possible d’information, compensant leur manque d’intelligence par leur capacité musculaire incroyablement développé. Les premiers cris que Simeon et moi-même entendîmes en montant à l’étages eurent tôt fait de nous prouver que les bonnes veilles méthodes d’investigations avaient encore de beaux jours devant elles.
Au premier étage, il nous fut facile de trouver la pièce ou Almoul avait été tué. Une planque en or, embarqué comme pièce a conviction par Simeon indiquait :
« Chez Almoul, trafic en tout genre, drogue, opinion, influence, information, contrebande diverse, location d’homme de main, blanchiment d’argent, proxénétisme, assassinat sur commande, attentat a la demande…
Chez Almoul, si sa paie, sa l’fait ! »

18 : 37 PM, 1er étage de « l’Emperor’s Asskick »
« -Il a du bol d’avoir été tué avant que je ne remarque qu’il nous faisait de la concurrence celui la… Bon, la porte a été enfoncée, boulot d’amateur…
-C’est vrai que ce genre de serrure ça se crochète facilement…
C’est pas la le problème, regarde bien : c’est la serrure qui a céder quand on a cherché a enfoncer la porte. Vois la différence quand un spécialiste comme moi utilise ce genre de procédé. »
Je m’avançais dans le couloir en quête d’une porte adapté a cet exercice et trouvait finalement quelque chose d’adapté : une plaque indiquant l’antre de l’un des représentant de l’espèce la plus méprisable de l’univers, un de ces chiens qui s’occupait de publicité sur le net ! Prenant mon élan, je m’élançais de tout mon poids contre la porte en bois, arrachant les gonds de l’encadrement et projettant la porte a travers la pièce. Pour faire bonne mesure, j’en profitais pour dégainer mon arme et vider mon chargeur dans la poitrine du cuistre.
« -Voila, en plus on pourra comparer la façon dont ce meurtre d’amateur a été commis avec celui d’un grand maître, Moi. Admire la précision dans ce défonçage de porte : les 3 gonds ont cédés au même moment alors que la serrure la retenait encore, garantissant une projection optimal de la porte au travers de la pièce. Aucune comparaison possible avec le boulot bâclé du gars qui a tué Almoul.
-Vraiment impressionnant sergent, maintenant on a 2 meurtres sur les bras.
-Celui-ci c’est pas un meurtre, c’est une expérience de la police scientifique. Les dommages collatéraux réalisés au cours d’une enquête ne peuvent en aucun cas être mis sur le compte d’un sergent et de son escouade dans l’exercice de leur fonction. Article 1678 alinéa d du code pénal.
-Vous déconnez la ?
-Négatif, je suis l’auteur de bien des lois qui me mettent à l’abri de bien des problèmes futiles. D’ailleurs quand on en aura fini ici on ira expliquer à nos amis les cafards qui attaquent notre monde qu’ils ont une grosse amende en prévisions vu que les invasions tyranides sont strictement interdites hors périodes de vacances estivales comme le prouve l’article 4371 du code du travail.

18 : 56 PM, Bureau d’Almoul
Plus aucun indice ne se trouvait dans le couloir, aussi était-il naturel que nous décidions d’aller sur les lieux du crimes afin de nous rendre compte par nous même de ce qui avait bien pu se passer. A peine avions nous passer le seuil de la porte du bureau d’Almoul qu’un détail attira notre attention : sur le sol se trouvait des douzaines de couteau en fer blanc a la lame tordues et dont la pointes était maculée de sang. Au centre de la pièce le corps d’Almoul gisait effroyablement mutilé par des centaines de coup de couteau.
« -Simeon, que déduisez vous de cela ?
-Que le meurtrier devait être très patient, pas discret vu le nombre d’arme avec lequel il se promène et assez fort pour maîtriser la victime pendant les longues heures qu’il a du lui falloir pour l’assassiner avec des armes en fer blanc…
-Et tu rates encore une fois l’essentiel ! Sans oublier que tu as tout faux. Il est évident que nous recherchons un quincaillier qui fait de la vente à domicile pas persuasif et frustré par d’innombrables échecs.
-Et qu’est-ce qui vous fait croire ça sergent ?
-Le nombre de couteau présent : seul un quincaillier peut en avoir autant. Il devait faire de la vente a domicile ou il n’en aurait pas eut autant sous la main. Pour le reste c’est évident : il s’est présenté, Almoul l’a envoyé paître et pour se venger il a enfoncer la porte pour l’assassiner. Trop facile…
-Donc pour vous c’est un hasard si c’est le gars le plus louche du quartier 117 qui s’est fait tuer ?
-Bien sur, un quincaillier frustré explique bien des choses sur ce monde.
-Et ce quincaillier serait venu dans un quartier notoirement louche pour démarcher ?
-Comme il était frustré il a cherché un défi, c’est naturel.
-Et il démarche dans le bâtiment le plus louche du quartier le plus louche de la ville la plus louche de la planète la plus louche de cet univers, ET PRECISEMENT chez le gars le plus louche de tous !
-Ben oui, c’était pet être la gars le plus frustré de l’univers et il voulait un défi a sa mesure.
-Et il abandonne toutes ces preuves derrière lui ?
-Il est frustré, ça explique beaucoup de chose.
-Et il ne vous faut aucune autre preuve pour condamner quelqu’un ?
-Bien sur que si. Mais faut admettre qu’un quincaillier qui donne dans la vente a domicile frustré ça court pas les rues donc c’est super pratique.
-Et c’est super fauché, donc on touchera jamais nos 1.2 millions.
-Comme tout le prouve si bien, il est impossible que se soit un quincaillier fauché qui a fait le coup. Tout ce qu’on sait c’est que l’assassin devait avoir bon nombre de couteau, à moins qu’il ne les ait trouvé ici…Simeon, utilise ton meilleur talent : fouille cette pièce a la recherche d’un détail aussi insignifiant que notre cher Empereur. Un peu comme quand tu cherches à mettre la main sur quelque chose qui ne te concerne pas. Fais pas le con : je te surveille, alors avant de voler quelque chose tu me le signale.
-Okay. Premier constat, il y a un double fond au second tiroir du bureau, on le remarque très facilement à sa taille anormale et inesthétique vu de l’extérieur et sa profondeur anormale a l’intérieur. Il y a dedans une liasse de billet…
-Pièce a conviction : donne, je prend.
-Une arme a feu semi-automatique de petit calibre…
-Laisse, un gosse pourrait le trouver, mal tourner et finalement devenir une recrue valable a l’avenir.
-et une liste de quelques uns de ces contacts.
-Rien de bien passionnant. Embarque la liste quand même, on trouvera peut être une info croustillante et un type a faire chanter. Simeon, t’as intérêt a trouver mieux sinon tu ne sera pas payer le mois prochain non plus.
-J’ai aussi remarqué une latte descellé dans le plancher.
-Bien, bel effort. J’ose espéré qu’il y aura plus la que, un, deux, trois, …, 45 000 Crédits en grosse coupure… Si il y a des preuves j’en veux bien aussi…
-Donc, dès que cette saleté de planche voudra bien dégager…
-Simeon ! T’as un gantelet énergétique que Gorek a spécialement modifié pour toi, y passant plus de 2 heures au lieu de réparer MON lance grenade qui s’était modérément disloqué a cause du recul trop important que l’augmentation de sa portée et de son calibre avait entraînaient.
-Sergent, un lance-grenade est censé utiliser des grenades pour munitions,mais une a la fois. A partir du moment ou vous pouvez en charger 12 en même temps et les tirer a plus de 200 mètres il était évident que ça allé poser des problèmes.
-Ouvre cette stupide trappe immédiatement…
-C’est cassé…
-C’est tout juste ce que je demandais. Comme quoi c’était pas trop compliqué…
-Oh Mon Dieu sergent ! C’est pas possible !
-Bien sur que si, mon lance-grenade est presque au point !
-Pas ça ! Regardez ce qu’il y a dans cet trappe : un insigne représentant un aigle impérial roti a la broche !
-Tient, ça c’est intéressant. Asmoul connaissait Erezius…

Rien de bien passionnant cette fois (quoique...), mis a part quelque passage et réflexion profondément stupide et surtout, l'intrigue du chapitre 3 habilement dévoilé. Reste que la suite de ce chapitre serabeaucoup plus stupide car je parlerais de sectes d'hérétiques ^^


« -C’est intéressant mais ça ne nous avance pas beaucoup…
-On aura qu’a allé demander à Erezius ce qu’il sait. Une formidable avancée dans notre enquête !
-Sauf qu’Erezius est encore moins fiable que vous…
-Mais naaaaaaaan, un homme de parole cet Erezius.
-Pas d’accord. Il parle, il parle mais il passe son temps à se contredire et a rompre ses engagements.
-Un homme de parole c’est avant tout quelqu’un qui parle beaucoup non ?
-Si vous voulez… N’empêche, vous vous souvenez de la dernière chose qu’il nous ait dit ?
-Il me semble que ça ressemblait a : «Bande de chiens, prochaine fois que vous traînerez vos viles carcasses puantes devant moi souvenez vous bien que je suis votre maître ou je mettrai vos tripes au jour ! » ou quelque chose d’approchant…
-Et malgré ça vous voulez le revoir ?
-C’était pas un mauvais bougre, il avait juste du mal a comprendre que le seul maître a bord avant l’Empereur c’est moi.
-N’empêche qu’il vous a doublé a de nombreuse reprises…
-Sur, il savait s’y prendre. Mais ses conneries ont finit par attirer l’attention de l’inquisition alors que moi je n’ais jamais dépassé les limites.
-Vous pensez à quelque chose en particulier ?
-La façon dont il se faisait appeler : le « Seigneur des Plaisirs Changeant et Brutalement Maladif ». Il voyait large quand même, trouver le moyen de porter les marques des 4 divinités du chaos au lieu de se contenter d’une marque universelle…
-Remarquez, c’est plein d’avantages qu’il disait, ça coûte moins de points…
-Raisonnement stupide, en passant personnage spécial il pouvait encore être plus fort pour moins cher. Bon, si on en a finit ici allons voir ce que les autres on foutus en mon absence.
-Déclencher une bagarre, escroquer les clients du bar, maltraiter des gens qui ne savaient rien et oublier de poser des questions…
-Tu sous estimes toujours tes collègues.
-Prêt a parier ?
-…
-Alors ?
-En route maintenant !

19 : 43 PM, rez-de-chaussée de « l’Emperor’s Asskick »
En descendant les escaliers, nous eûmes l’occasion de voir qu’en bas la pièce semblait en bien pire état que lorsque nous l’avions quitté. Diverses choses, comme par exemple le fait que plus aucun élément du mobilier ne s’élevait a plus de trente centimètres au dessus du sol et que bon nombre des clients rampaient en gémissant sans pour autant paraître ivre nous laissèrent penser que la première des prémonitions de Simeon devait être juste : on s’était battu ici. Toutefois, rien ne prouvait que Merak et Lathes aient été à l’origine du conflit.
Comme d’habitude après une bonne bagarre, Lathes s’était aménagé un banc à l’aide des nombreuses victimes qui jonchaient le sol et engloutissait d’innombrables rations de survie qu’il extrayait de son sac. Les constituants de son siège devaient être bien sonné car pas une seule plainte ne s’en élevait malgré la pression intolérable qu’ils devaient subir sous le poids inhumain du soldat. Merak se cachait tant bien que mal derrière l’un des plus hauts tas de débris, enfouissant avec une avidité non feinte toute sorte d’objet de valeur dans ses poches secrètes et son sac. Visiblement, Simeon avait encore vu juste, ils avaient organisé une vaste escroquerie pour passer le temps et s’étaient arrangé pour être découvert et déclancher une rixe.
Restait a savoir si ils avaient pensé a poser des questions avant de cogner, ce qui serait surprenant vu le tournant pris par les événements. Après avoir fait un signe discret a Simeon pour m’assuré qu’il n’oublierai pas de faire les poches de Merak et ainsi garantir un meilleur partage du butin je tentai de sous tirer a mes sous-fifres les sous informations qu’ils auraient du obtenir en sous main a la bande de la part des sous hommes présent dans le bar.

« -Merak, rapport !!!
-Bin voila sergent, le soldat Lathes et moi-même avons remarqué un attroupement anormal de personne d’apparence suspecte autour d’une table.
-Quel genre d’apparence suspecte ?
-Ils semblaient avoir de l’argent. Aussitôt, nous sommes allé personnelement nous rendre compte de la situation et, horreur, nous vîmes qu’ils misaient de l’argent en jouant aux cartes. N’écoutant-que-notre-courage-et-notre-parfait-et-profond-respect-pour-la-loi (prononcé de manière machinale), nous ordonnâmes de cesser cette activité illicite et confisquions l’objet du délit.
-Les cartes ?
-Non, l’argent.
-Laisse moi deviner : ils ont pas apprécié et vous vous êtes battus…
-Non sergent, seul Lathes et moi nous sommes battus, les autres tentaient lâchement de fuir. Comme on devait poser des questions on a préféré tous les retenir sur place. Le manque de menotte se faisant sentir, vous pensez bien qu’on a du tous les assommer a regret.
-En parlant des questions, vous en avait posé ?
-Ben, je comptais le faire, sisi, vraiment mais avant de passer a cette étape ennuyante et inutile de l’enquête j’ai entendu l’un des clients prononcer le nom de Johas.
-Et ?
-Ben comme Johas n’aurait sans doute pas aimé Almoul c’est lui le coupable et l’affaire est réglé !
-Non Merak, Johas ne peut pas être coupable ou il m’aurait fait parvenir un rapport en bonne et due forme pour s’accuser comme il se doit.
-Il ne l’aura pas fait pour vous tromper !
-Non, dans ce cas il aurait fait une note pour me prévenir qu’il ne ferait pas de rapport concernant le meurtre d’Almoul pour qu’ont ne puisse pas le soupçonner. Ne sous-estime pas le pouvoir de la bureaucratie : nul GI ne peut lui échapper !
-Nous si.
-Non, c’est parce que c’est moi qui fait les rapports pour tout le monde : une photocopieuse se contredit moins que si je laissais a chacun dire se qui s’est passé.
-Vous tapez un rapport après chaque mission ?
-Ne soit pas stupide Simeon, j’ai autre chose a faire : je vais aux archives, prend un rapport tout fait et le photocopie ! Maintenant fermez la. Voici les ordres : Simeon, colle cette affiche au mur, Lathes, ne bouge pas, le bâtiment n’a pas l’air bien solide on va éviter d’encore le fragiler, Merak surveille tout le monde l’air méchant. Pas la peine de prendre l’air méchant crétin ! Tu fais plus peur au naturel la t’as l’air d’un teckel mouillé !
-Je suis PAS un teckel !
-Parfait, garde la pose !
-Sergent, vous êtes sur que je dois coller cette affiche ? C’est un peu…
-Un peu quoi ? T’as vu ce qu’on nous paye ? Faut bien vivre !
-Mais organiser une loterie payante pour que des civils puisse visiter le front où on se bat contre des tyranides avec notre unité comme guide…
-Pas grave, on leur fera croire que c’est un nouveau jeu video. Plus personne n’y comprend rien à l’informatique, cette bande d’idiot croira tout ce qu’on voudra si ça a l’air assez gros !
-Vous êtes sur ?
-Mais oui. Un super jeu de rôle On Line ou on incarne un GI perdu sur le front d’une guerre atroce avec des morts brutales, des tonnes de tripailles qui vole, du sang qui gicle dans tous les sens, une boucherie indescrïptible !
-Mais si ils se font tuer ?
-Mais nan, on sera là pour les protéger. En plus j’ai passé un accord avec les syndicats tyranides, tout est OK, faites-moi confiance.
-Et ils vont vraiment croire être dans un jeu ?
-Oui, définitivement oui ! Trois raisons : Seule une bande de fou les emmènerai réellement au combat…
-Ils sont pas sauvé…
-Le public est stupide, il croit tout ce qu’on lui dit. Par exemple cette histoire stupide d’un Empereur immortel mort qui aurait sauvé l’humanité contre un Primarque renégat qui n’aurait jamais existé si le sauveur l’avait pas créé. Le pire c’est que cet immortel mort on le remercie depuis 10 000 ans pour avoir réparé ses propres conneries !
-Un point pour le sergent…
-La dernière raison c’est que le public est encore moins bien informé que moi sur l’informatique. J’ai collé « technologie révolutionnaire » sur la pub, personne ne remarquera rien.
-Ca pourrait marcher.
-Il le faudra Merak. Maintenant un peu de silence ! Tous, qui sait où je pourrais trouver Erezius ?
-…
-Je répète ma question, ceux qui ne répondent pas en parleront avec Merak : qui sait où je pourrais trouver Erezius ? »

La variété de réponse qui nous parvînt aurait a elle seule suffit a rendre fou n’importe quel enquêteur moins au fait des vilainies les plus habituelles de ce bon vieil Erezius. Dans sa profonde paranoïa, il avait prit l’habitude de donner un maximum d’informations contradictoires a tous les habitants du quartier pour dissimuler sa planque. Après avoir appris des habitants qu’il se trouvait soit dans les quartiers Nord, soit dans les quartiers Est, soit dans les quartiers Sud, nous savions avec certitude qu’il se trouvait dans la partie Ouest de la ville. La décision fut prise a l’unanimité de ma seule voix contre toutes les autres d’aller visiter l’entreprise louche, ou plutôt la couverture bidon, qu’Erezius avait monté peut avant de nous quitter dans la précipitation l’inquisition le talonnant de prêt

22 : 34 PM, Devant le « Chaotic Sporting Club »-Messieurs, cette fois vous avez tout intérêt a être d’accord, un klaxon jumelé a une Sirène de Mort c’est la classe absolue !
-Je veux bien admettre que c’est mieux qu’un Multi-fuseur…
-Mais ça averti quand même la moitié de la ville de notre présence…
-Et ? Vous vous plaigniez que ces fainéants de civiles n’avaient pas le temps de fuir, maintenant ils l’ont.
-Oui, mais maintenant même nos ennemis ont le temps de fuir, on risque de s’ennuyer ferme…
-Gorek, Simeon vient d’avoir une pensée étrangement intelligente, il va encore falloir revoir le jumelage du klaxon
-Mais pourquoi vouloir a tout prix le jumeler ?
-Question d’espace : comme on a trop d’arme sur la chimère on a pas la place pour tout les cables dans les parois. Donc avec un seul cable pour 2 armes on aura le temps de oir venir.
-Cé pour sa kon a viré lé truk ki servé a rien.
-Quels trucs qui servaient a rien ?
-Frein, tout ce qui transmettait des ordres venus de l’exterieur, les mouchards qui permettaient a l’ennemi de nous repérer…
-A nos supérieurs, pas a l’enne…
-La ferme Johas ! C’est notre pire ennemi justement. On a aussi sortie les trucs qu’on n’utilisait jamais comme la matos de survie, trousse de soin d’urgence, les vivres des Xerwas qui ne tiennent jamais assez longtemps pour en avoir besoin. Rien de très important.
-Vu sergent. Et maintenant on fait quoi ?
-Bonne question Merak. Almoul était un contrebandier, a assassin, un dealer, un informateur, proxénète et j’ai entendu dire qu’il trempait en plus dans des embrouilles moins recommandables. Au vue de la taille de cette cité ruche ça nous fait pas moins de 3 000 000 000 de suspects, va falloir agir avec méthode !
-Et la méthode c’est ?
-Ma spécialité, je suis sergent. Pendant que Johas et les Xerwas interrogeront les suspects, Gorek ira recruter un nouveau membre pour notre unité, je lui fait confiance pour bien choisir. Les autres viennent avec moi, nous allons retrouver Erezius et lui faire cracher tout ce qu’il sait.
-Un boulot risqué…
-Mais non Lathes : les Xerwas sont hors du coup, donc on devrait s’en tirer sans perte.
-Mais Erezius est… bizarre… sergent.
-Simeon, Erezius est avant tout un crétin qui croit que ses quelques pouvoirs psychiques valent mieux que nos armes. Ce genre de pensées hérétiques est intolérables maintenant qu’il a fuit notre unité. Si il nous cherche, on le tape !
-Comme toujours. Sauf que lui a survécu a pas mal de missions avec nous, il est donc pas si nul que ça.
-Merak, pas de pensées hérétiques ! Je vous rappel que la pire menace de l’univers c’est moi, la seconde c’est mon unité et la troisième les chanteurs de country !
-Sergent : affronter une invasion de tyranides en première ligne je veux bien, promener des touristes sur le front passe encore, mais affronter Erezius, c’est plus des conditions de travail là c’est…
-Simeon ! Article 1 du règlement de cette unité ! « Il est interdit de réfléchir à ses conditions de travail. » ! C’est la base même de toute bonne collaboration.
-Les syndicats n’apprécieraient pas ce genre d’article.
-Ca ne gène pas les syndicats : ils n’ont qu’a s’occuper d’autre chose. De toute façon je suis contre les syndicats, pas moyens de massacrer le petit personnel avec ces gêneurs. Le premier qui me parle de syndicat se retrouve au chômage technique pour manque de munitions, compris ?
-A vos ordres sergent.
-J’espère bien. Donc, voici comment nous allons procéder. Vu l’heure, il ne doit rester que les adeptes d’Erezius là dedans. De toute façon personne d’autre n’y met les pieds. Nous allons nous fondre dans le décor et recueillir discrètement des infos. Si l’un de nous est repéré, il n’aura pas le droit de participer à la baston comme punition.

22 : 51 PM, Salle principale du « Chaotic Sporting Club »La salle était bondée. Partout on pouvait voir des groupes d’adorateurs se réunir en fonction de leur affiliation. Le groupe le plus remarquable était celui des adorateurs de Nurgle, massivement réuni à proximité des toilettes où un va et vient continue rendait l’atmosphère de l’endroit difficilement respirable pour ceux qui ne vénéraient pas Prout. Les autres groupes étaient de tailles plus réduites et dispersés a travers la pièce, bien que régulièrement un groupe de fidèle de Khorne allait cogner sur des Slaaneshi ou des tzeentcheux qui n’avait pas respecté le périmètre de sécurité.
Dès notre arrivé, un fidèle de Croak vint à notre rencontre pour nous souhaiter la bienvenue. Malheureusement pour lui, il demanda à Merak un mot de passe ce qui lui valu de prestement recevoir un coup de tête avant d’être jeté au sol et piétiné par notre compagnon qui avait décidé de passer pour un adepte de Greuh. A sa suite, nous finissions le boulot en écrasant impitoyablement les autres Tzeentcheux qui accompagnait celui que nous avion massacré et justifions le fait de n’être que 4 par le fait que c’était la moitié du quota habituel et que le premier que réitérait cette remarque on lui explosait la face. Visiblement, cette façon de se présenter devait être la norme pour les adeptes de Khorne si on en jugeait par le nombre important de fidèles d’autres Dieu arborant des marques de coup, les moins touché étant étrangement les Slaaneshis les plus convaincus qu’un fidèle de Khorne traite avec tout les égards, meilleure façon de le faire réellement souffrir.
Tirant toute notre science de l’infiltration de différent film à la subtilité mainte fois prouvé, principalement la série « ChainSword : Massacre en masse » décrivant de façon plutôt réaliste les actions d’un groupe de guerriers écrasant a eux seuls des centaines d’adversaires dans des flots de sang, avec pour seul défaut la quantité ridicule d’ennemi a succomber au cours du film ou encore l’excellent : « Boucherie ultime : annihilation finale » montrant sobrement au cours de l’unique scène de combat du film, scène qui a le bon goût de tout de même durée plus de 3 heures sur les 3 heure et quart du film, d’innombrable membres arraché des corps du héros qui avance en plein cœur d’un complexe bourré d’hérétique et ne laissant que des cadavres sur sa route. Grâce a nos références de qualités, nous savions tous que nous en étions à la phase d’approche de notre infiltration, phase précédant immanquablement le massacre que le public attend. Afin de maximiser les chances de réduire la durée de la phase d’approche, chacun de nous partit chercher des informations auprès de différent groupe. Lathes, a cause de sa corpulence, fut dirigé vers les adeptes de Prout. Merak, brutal comme il l’est, eut l’honneur d’aller voir les fidèles de Greuh. Ce fourbe de Simeon eut droit aux Tzeentcheux et je dus me contenter des restes, une infâme bande de Slaaneshis.

Ce qui est important quand on souhaite se mêler à un groupe c’est la première impression. Je jetais donc au sol le premier d’entre eux à me tendre la main et l’utilisai comme paillasson, non sans oublier d’aller marcher auparavant dans les excrétions des fidèles de Prout pour faire bonne mesure. Après avoir retourné une bonne droite au premier à avoir osé desserrer la mâchoire, je pris la parole, esquivant la pathétique riposte de mon vis-à-vis et l’achevant d’un coup de genou dans le bas ventre
« -Ecoutez moins gros tas de fientes lobotomisées, je suis… »
Me souvenant brusquement que je n’étais pas venu me défouler sur ce petit attroupement d’individus à la moralité quelque peu atrophié, je repris sur un ton plus poli
« -…désolé de vous déranger, mais j’ai besoin de quelques renseignements
-ah ouais ? Comme quoi par exemple postillonna le plus grand de mes interlocuteurs
-Gaffe quand tu parles abruti, j’ai demandé les infos pas la météo ! T’es qui toi d’abord, j’voudrais savoir quoi mettre sur ta tombe…
-Le seul maître ici après Dieu, scélérat !
-C’est les rats qui dirigent ici ? M’étonne même pas… PS, choppe ton dico et cherche Tic-Tac tu nous rendras service. Bon, maintenant arrête de te fatiguer et contentes toi de me répondre, poliment, sans postillonner…
-Pour qui tu te prends !
-Minute mec, j’essaie d’être sociable, j’ai le tact de pas te faire remarquer que tu ressembles a l’idiot du village de Cro-Magnon alors reste poli sinon je te préviens, ça va saigner !
-Tu veux mourir ??!!
-Bon, écoute, je t’aime bien et tout et tout, mais entre nous ça va pas coller alors abrégeons. Ta partie c’est « Aaaaargh, je meurs, je meurs… »

Sur ce, je mis un terme a notre entretient, non sans oublier mon couteau de survie dans la gorge de mon opposant. Préférant ne pas laissé trop de témoin de cette discution houleuse, j’achevais rapidement le reste du groupe en beuglant « Vous voulez souffrir, j’arrange ça tout de suite ! » pour brouiller les pistes. Expédiant la besogne sous les regards envieux des autres groupes de Slaaneshis qui aimerai eux aussi se faire défoncer le crâne a coup de crosse de fusil par un expert de ma trempe, j’observais la situation de mes hommes. Simeon passé de Tzeentcheux en Tzeentcheux, distribuant des tapes amicales sur les épaules et soulageant les poches des portefeuilles qui pourraient y traîner, il s’acquittait fort bien de sa tâche de pilleur mais ne cherchait absolument pas à récolter d’information. Merak démontrait fort habillement, comme l’attestait les quatre corps étendu à ses cotés, que Khorne aimait les coups de boulle. Lathès avait visiblement rencontré les mêmes difficultés que moi car il entreprenait de noyer quelques adeptes de Prout dans la cuvette des toilettes et faisait disparaître les corps dans un débarras ou le personnel d’entretient stockait son matériel. Tout aurait été pour le mieux si il était possible de remporter une enquête par KO…

23 : 30 PM, Un sombre tunnel sous le « Chaotic Sporting Club »Alors que je commençais à être pris d’un léger ras-le-bol et que j’allais donner le signal signifiant la fin de l’enquête et la reprise d’une forme d’investigation plus performante, comme par exemple l’extorsion d’aveu ou encore le saccage brutal des lieux une paroie coulissa dévoilant un long tunnel mal éclairé dans lequel les hérétiques encore en état de le faire s’engagèrent. Il s’agissait sans doute d’un passage menant du « Chaotic Sporting Club » à la planque d’Erezius où nous ne serions pas les bienvenues, aussi il fallait agir avec prudence. La précaution poussée a son paroxysme nous encouragea a pénétrer dans le tunnel, non seulement sans hurler a tue tête que nous arrivions, mais aussi a marcher plus ou moins en bonne ordre et en nous arrêtant pour nous chahuter trois fois moins souvent qu’a l’habitude, soit tout les quinze mètres environ.
« -J’aime pas ça sergent…
-Quoi Donc Simeon ?
-Les endroits clos et sombre…
-Menteur ! Rugit Merak. La dernière fois t’as essayé de me faire les poches dans le métro !
-C’était un tunnel bien éclairé.
-Moi ce que j’aime pas c’est les rations qu’on nous sert a la garnison, y’a rien a bouffer la dedans…
-Lathes, je te rappel qu’on ne mange pas a la garnison, alors comment tu sais ça ?
-Ben après qu’on se soit arrêté manger quelque part et qu’on revient au bunker j’ai encore faim alors je mange aussi là-bas.
-Alors ça sers a quoi que tu commande 4 menus si c’est pour manger encore au bunker ?!?
-C’est vous qui ne voulez pas passer plus de deux heures pour la pause repas réglementaire.
-La pause réglementaire et de 45 minutes ! On en prend un peu plus parce qu’on est capable de travailler plus vite que les autres mais je préfère ne pas trop abuser de la bienveillance de l’administorium a notre égard : l’efficacité de nos menaces a peu d’être des limites.
-Ouais ben à cause de ça je quitte la table sans avoir put manger correctement.
-En même temps comme tu manges en permanence, même hors de table, ça ne pose pas de grave problème…
-Ouais mais moi je suis grand et fort Monsieur Simeon, alors j’ai besoin de manger un peu plus que vous et c’est normal !
-Besoin de manger deux fois plus que les 9 autres membres de l’escouade réunis ? T’es pas beaucoup plus grand que Merak, et il est plus fort que toi…
-Oui mais Merak est un crétin, moi j’ai aussi un cerveau qu’il faut faire marcher !
-Je suis quoi ! Je te préviens, prochaine fois que tu ouvres ta gueule pour autre chose qu’y amener de la nourriture je te met un pain !
-Parle lui pas de pain tu vas encore lui donner faim et ses bruits de mastication vont attirer des ennemis…
-Ma mastication n’attire personne Monsieur Simeon ! Et de toute façon a force de parler nourriture vous m’avez donné faim alors faudra pas vous plaindre si je mange !
-Ben mange mais ferme la ! Encore que la tu serais sans doute capable de bouffer par les narines…
-MAIS C’EST PAS BIENTOT FINI CE BORDEL ! Vous allez finir par nous faire repérer avec tout ça ! D’ailleurs ça serai pas un mal, vous pourriez vous passé les nerf sur quelque chose… Qui m’a collé des abrutis pareil, a peine sortie d’une baston ils se battent entre eux… et le pire c’est que l’ork et même pas là…
-C’est vous sergent.
-Quoi c’est moi ?
-C’est vous qui nous avez recruté.
-Ouais mais a l’époque je croyais faire une affaire. On m’avais promis des professionnels, sur d’eux et a l’aise dans le maniement des flingues. La dessus on m’a pas menti. Mais j’aurais aimé savoir qu’ils étaient encore plus à l’aise avec leur flingue quand il s’agissait de se tirer dessus !
-Pas de ma faute si j’aime pas ce gros balourd sans finesse.
-Et moi si ce modèle réduit fourbe et vil me dégoûte.
-Et ça va pas être de ma faute si je colle une paire de baffe au prochain qui l’ouvre ! Silence ! J’aimerais qu’on se remette en marche, qu’on rattrape cette bande d’hérétiques, qu’on leur botte le cul pour se détendre puis qu’on trouve Erezius, qu’on lui fasse avouer ce qu’il sait et qu’on passe a la suite ! Si vous pouvez pas resté concentré sur une enquête on en fera plus ! Déjà que j’ai voulu essayé ça pour changer de la routine des démembrement habituels…
-Vous énervez pas sergent…
-On va se taire, promis…
-On pensez pas a mal…
-C’EST BIEN CE QUE JE VOUS REPROCHE ! VOUS PENSEZ PAS ! JE VOUS PREVIENS ? SI VOUS AVEZ ATTIRE L’ATTENTION CA VA CHIER !
-Euh ? sergent, vous pouvez arréter de gueuler, ça résonne beaucoup…
-OUAIS CA RESONNE ET JE M’EN FOUT ! SI ON VOULAIT ETRE DISCRET C’ETAIT AVANT QU’IL FALLAIT Y PENSER ! Maintenant on avance, et si Erezius nous accueil faudra pas s’étonner !

Que du bon, j'adore, ça arrache .
bravo.

Un ennemi, un nouveau membre et surtout : la suite !


23 : 52 PM, Une étrange caverne sous le « Chaotic Sporting Club »Mon intervention permis a notre groupe de reprendre sa progression dans un silence absolu pendant près de 200 mètres, après quoi le train-train habituel repris de plus belle, cette fois sous la forme d’une engueulade opposant Merak à Simeon au sujet d’une quinzaine de crédit que ce second aurait emprunté a l’une des personnes auquel Merak louait sa protection et qui se serait plaint d’un remboursement qui se faisait attendre, refusant donc de payer Merak plus longtemps puisque ça ne lui évité pas d’autre racket. Le commerce de Merak, mis en péril par ce premier acte de rébellion justifié, l’obligeait à demander des comptes à Simeon, et justement comme il avait rien de mieux à faire pour le moment il hurlait corpieusement pour récupérer ces quinze crédit de suite, ce que Simeon refusait en demandant un paiement sans frais en 3 fois échelonné sur les dix prochaines années.
C’est sous une influence d’argument en faveur des facilités de paiement s’opposant systématiquement a ceux favorable au mérite de tenir ses comptes a jour nous nous arrivâmes dans une vaste grotte bien éclairé ou Simeon céda enfin et remis à Merak les quinze crédit qu’il venait de lui voler. Ce dernier qui avait pris l’habitude de marquer toutes ses possession pour éviter ce genre d’incident lui retourna une paire de baffe, la première comme remerciement pour la restitution de ses biens, la seconde comme première somation pour exiger la reddition immédiate de Simeon. Fasciné par le tour que prenait cette discussion, preuve irréfutable que la discipline au sein de l’armée n’était plus aussi strict qu’avant, il nous fallu un moment pour remarquer que nous n’étions pas seuls dans la cavité.
En son centre se tenait un sorte de grosse volaille décharnée aux plumes de couleurs criardes et particulièrement mal assorties. Cette créature s’agitait en croassant, si bien que Merak réagit instinctivement en lui expédiant une roquette incendiaire en plein torse, veille habitude tirée de son expérience de chasseur. A la surprise de tous, une fois l’incendie maîtrisé, la volaille se tenait toujours à sa place, nullement affecté par l’attaque, et se mit a nous narguer

« -Pathétiques humains, je suis votre destin, vous ne pouvez me vaincre.
-Tain, elles ont dépassé leur date limite de consommation mes roquettes ou quoi…
-hier j’ai vu un nouveau modèle de kevlar en faisant les soldes et…
-les nuits commence à rafraîchir, on vois que l’hiver approche…
-Oui, Merak. Oui aussi Simeon. Pareil pour toi Lathes. Mais la on essaie de vous parler et…
-Je suis votre mort !!!
-Oh, la volaille elle la ferme ou on la plume ! Je suis sergent, c’est moi le plus haut gradé, donc on me coupe pas la parole compris !
-Je suis…
-Chiant ! Tu me réponds, point !
-Je suis un Dé…
-Rien a foutre ! Un Dé… quoi d’abord ?
-Débutant ?
-Débordé ?
-Dé à coudre ?
-Tu trouves qu’il ressemble à un dé à coudre Merak ?
-Euh, désolé. Un Debrieffing.
-Un Débrieffing, quelle horreur !
C’est terrible, je sais même plus ce qu’on doit y faire depuis le temps que je ne m’y présente plus !
-Impossible, l’Etat Malor n’a pas pu organiser ça ici, personne ne sait jamais où on va ! Soyons sérieux !
-Un Démon. Je suis un Démon !!
-Ah ouais, pas mal.
-Merak, c’est pas une proposition à mon avis. Ce truc est vraiment un démon.
-Voila ! Démon Majeur de Tzeentch !
-Qui ?
-Croak.
-Ah, celui qui se complique toujours la vie pour rien.
-Lui-même, Merak. Et à part être Démon Majeur, vous avez d’autre passion ?
-Vous vous foutez de moi ! Erezius m’envoie pour vous tuer !
-Donc tu es aussi Démon Majeur d’Erezius !
-Mais non !
-Alors pourquoi tu lui obéit.
-Parce que Tzeentch est d’accord. Enfin je crois. J’en sais rien en fait…
-Ben ouaip, dans ce cas ça doit pas être facile de bosser.
-Bah, au moins moi j’ai un job parce que maintenant les nouveaux contrats qui lient les démons aux sorciers sont trop a l’avantage du patronnat. Remarquez pour moi ça irait puisque je suis syndiqué chez Tzeentch mais les indépendants du chaos universel ne s’en tirent plus et restent des siècle au chômage si bien que beaucoup sont obligé de se lier a une arme pour se vendre au plus offrant.
-Trop dur… C’est pas qu’on s’ennuie mais on a du boulot nous, alors on va y aller.
-Non, je dois vous tuer !
-Mais allé, laisse tomber ! T’y arrivera pas de toute façon alors entame une grève, au moins tu pourras renégocier ton contrat.
-Si j’y arrive ! Je vois l’avenir donc je le sais !
-Minute la volaille ! Tu vois l’avenir ?
-Et oui !
-Tout ?
-Parfaitement !
-Les gars, cette chose connaît les prochains tirages du Loto !
-Hein ? Mais nan je… »

Une féroce bataille s’engagea aussitôt, opposant une valeureuse équipe de fervent défenseur de l’Imperium (nda : mes gars et moi) à un vil serviteur de Chaos. Le Duc du Changement anticipait tous les assauts grâce a ses pouvoirs, bien que ce trouvant dans l’impossibilité de riposter devant la quantité formidables de projectiles qu’il devait éviter a chaque instant. Ce petit jeu commençait a s’éternisait, nos considérables réserves de munitions commençait a s’amenuisait et l’avantage restait au pigeon au cours de ce ball-trap truqué. Alors que notre position allait d’un instant a l’autre devenir délicate, le Démon Majeur fit un brusque écart afin d’éviter plusieurs imposants blocs de roche qui se détachaient du plafond. Surprenant tous les membres de notre unité, notre chimère, désormais équipé d’une foreuse que Merak a du récupérer je ne sais où, traversât la voûte de la grotte et atterri a quelques pas de l’ennemi. Gorek surgit immédiatement par l’écoutille et avant de pouvoir dire quoi que se soit fut atteint par un projectile bleuté que lui avait envoyé le Démon. Nullement incommodé par celaGorek m’interpella

« -Gé trouvé un bon gars pour brassé tou lé tyty boss !
-Veuillez m’excuser, gémit le démon, mais il me semble que mon sort vous a touché et que vous devriez être mort.
-Keske tu di toa l’gro poulé bleu ! lé sor cé pour lé pov’ zoms ki son tou mou et ki peuve pas s’battre comme d’vrai Ork !
-J’ai peur de ne pas bien comprendre la…
-Ce que Gorek veut dire c’est que, comme certaines fanatiques qui ne sont pas affecté par les psykers parce qu’elles croient en l’Empereur, Gorek n’est pas atteint parce qu’il ne croit pas qu’un truc venant de la tête autre qu’un coup de boule puisse faire mal.
-Remarquez, il est dans le juste cette fois.
-Bien vu Merak : les sorts c’est bon pour les perdants. Maintenant que notre problème de logistique est résolu, t’as 10 se conde pour te rendre après je donnerai l’ordre Gorek de faire usage de notre arme d’interpellation principale : lance-roquette-multi-tube-gatling-perforant-tueur-de-titan-et-d’immortel-a-visé-laser-de-17ième-génération-modèle-déposé-chez-toutes-les-races-connues-ou-non-de-l’univers. Un
-M’en fout !
-Deux
-Je vois l’avenir !
-Trois
-Je trouverai comment y échapper !
-QuatreCinq.
-Vous accélérez pas un peu là ?
-SixSeptHuitNeufDix ! Feu !! »

Avant qu’il n’ait put protester sur l’irrégularité de notre procédure d’arrestation, Une salve de roquette atteint le Démon majeur qui disparu subitement de la salle dans une explosion tonitruante qui ne manquerait pas d’avertir tous les habitants de la cité qu’une nouvelle fois encore, notre unité avait veillé a leur sécurité et a leur bien être. Si toutefois le bruit de l’explosion ne les prévenait pas, les secousses importantes provoquées le feraient. Une fois le contretemps finalement surmonté, il était temps que Gorek nous montre ce qu’il avait recruté pour notre unité. Il sorti de la chimère en tenant par le col l’un de ses modèles réduit de peaux vertes que l’on appelé snotlings ou, plus généralement, qu’on ne perdait même pas son temps a appeler.

« -Gorek ! C’est ça le gars qui va brasser tout les tytys ??!!?
-Nan, cé moi sa ! Lui cé Moustik’ et cé l’pluss increvab’ dé snot !
-Quoi c’est le plus increvable ? On lui met une baffe et il est mort !
-Nan boss ! cé sa kié tro forre ! j’voulé m’le fér pour s’marré un peu alor gé fonssé d’ssu avec la chimèr’, j’alé l’avoir kan l’a tapé avec son bou d’boi dessu et sa a fé pété l’moteur ! kom j’voulé ki m’dise kommen il avé fé sa j’sui sorti é y’a dé zoms kion voulu nou tapé Moustik’ é moi. J’me sui défendu mé pa tro forre komme vou m’avé di é apré j’gé latté tou lé zoms et chppé kelkes den gé vu k’Moustik’ il en avai ossi rétamé un tas avec son baton alor j’lé engagé !
-On va pas engagé un snot parce qu’il a rétamé deux ou trois pauvre types assez torché pour venir s’attaquer a un Ork dont la masse musculaire est égale au carré du nombre de cellule grise qui leur reste quand même !
-Merak, tu sais bien que quand Gorek parle d’un tas c’est au sens littéral qu’il faut le prendre. Et tu sais aussi que pour impressionner Gorek il en faut beaucoup. Vous vous souvenez du dernier carnifex qu’on a croisé ?
-Celui que Gorek a dréssé a coup de journal pour qu’il lui rapporte ses rokèt ?
-C’était con en même temps, il les poursuivait quand Gorek tirait et a fini par en mourir…
-C’est pas la question ! Toujours est-il qu’on sait qu’un Carni, Gorek s’en fout. Et la un Snot l’impressionne, donc ça doit être un super Snot !

Je suis fan de Gorek!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!C'est tout!

Faut dire que Gorek qui dresse un carniflex... Excellent ^^.

C'est con aussi...Il est mort...Snif!Je me demande comment C'était son petit nom!

Ou on en apprend sur Moustik'. Ou on comprend enfin pourquoi les Primarques se sont rebellé et surtout, ou Erezius dévoile son plan diabolique !


Sans plus de formalités, je donnais immédiatement l’ordre de reprendre la marche pour aller demander des comptes a Erezius le plus vite possible. L’arrivé de Gorek n’arrangeait absolument pas l’ambiance au sein de l’unité. De son coté, Moustik’ courait d’un de ses nouveau coéquipiers a un autre en les abreuvant de paroles
« -Lu, moi cé Moustik’, j’sui un snot et j’sui tro conten d’être la avec vou. Cé paske je voi ke vou étes pa dé débutan, sa s’voi paske vou avé dé arme tro top. Vou avé déjà tapé sur dé marines ? J’croi pa paske lé marines y son karémen tro balèz cé un T-Shirt rouge ki m’la di. Moi si j’été pa un snot j’srai un marine komme sa j’pourrai latté tout plein d’gars é pi j’gueulerai « pour l’Empreur ! » en allan cogné sur mé ennemi. Toi tu gueule « pour l’Empreur ! » kan tu va tapé sur lé gens ? Paske on tape pluss fort kan on gueule « pour l’Empreur ! », j’le sé paske tou lé otes snots y le disent ossi. J’peu r’gardé ton arme d’plu prè ? Allé, soi sympa, on é biento d’veu pote ! Steu plé ! J’la bimré pa ! vaaaaaaaaaaas-yyyy lésse moi voaaaaaaar ! R’garde, moi gé un baton ké tro cool ossi ! J’té montré mon baton tu peu m’laissé voar ton fling’ nan ? Té pa cool komme boss moi kan j’été chez lé T-Shirt rouge j’pouvai touché a tou on m’laissé fèr !
-Tu vas arrêter de me soûler cinq minutes !
-Moi j’veu bien… Et sinon t’a déjà vu un tyty en vré ? Paske tou ceu k’gé vu y zété tou pti, presk ossi pti kmoi é y bavé tou plein. Tu croi kun gro tyty sa bave encore pluss ? Et si y bave pluss, dou kelle vien la bave paske il boi pas otan kil bave ça doi pas étre facile. A par si kan il bave pa il passe son tem a boar mé la il a plu le tem d’allé mangé. Sa mange koi en pluss un tyty paske moi j’en é jamai vu au resto, sof sur la carte et pi cété tro chèr alor gé pa pu gouté moi au tyty alor ke lé tyty sa goute gratos au snot kan y zen croise sur leur route alors j’trouve pa sa juste é j’voudrai bien ki zarète de mangé lé snots paske nou lé snot on é super sensible. J’peu voar ton fling’ ? Vaaaas-yyyy !! steuupléééé !!!
-Boucle la !!! Ki m’a collé cet abruti sur lé bras !!
-Cé Gorek é mèm kil é tro cool Merak paske cé kun Ork mé il é mieu k’lé otre Ork paskil a compri k’cé pa paske j’sui un snot ke j’sui un minab é même ki ma di d’venir avec lui é…
-Silence !!!! Qui est responsable !!! Qui !!!
-C’est Gorek Boss, et comme d’habitude vous n’écoutez que lui et pas l’avis des autres. D’où des catastrophes a répétition…
-Simeon, ferme la ! Le snot, c’est pas une raison pour la ré-ouvrir ! Gorek, explication !
-Cé ke Moustik’ cé pa seulmen un snot kif é k’parler, cé ossi un snot kon peu pas fèr tèr en tapan d’ssus cé pour sa k’lé amné : paskil voulé pa m’laché… »

Perdant momentanément mon calme, je dégainé toutes les armes de poing que j’avais a ma disposition et me mis a vider chargeurs, ceinture de grenades et divers autres type de munitions que j’avais a ma disposition, immédiatement imité par le reste de l’unité qui commencé aussi a se lasser du jacassage incessant du snot. Une fois notre ire déchargé sur l’ennemi, et nos munitions épuisées par la même occasion, il ne resté devant nous qu’un cratère, d’innombrable débris de roche et les quantités de douilles libérées par nos arme. De moustik’ il ne resté aucune trace.
« -T’as vu Gorek, rien ! Il en reste rien !
-Cé fini ?
-Qui ?
-Cé moi Moustik’ ! j’sui un snot et j’sui tro conten d’être la avec vou ! Cé paske !
-La ferme !!! Pourquoi t’e pas mort !! On t’as tiré dessus, tu devais avoir été désintégré au moins 19 fois avec ce qu’on t’a mit !
-Cé pa possib’ paske moi j’sui Moustik’ ! J’sui un snot é y’a Gork et mèm Mork ki on di k’j’srai l’pluss increvab’ d’tou lé snot é pi mèm kon pourré pa m’tué ! Cé la rokèt ki m’a presk touché d’abord ki m’a j’té loin pour k’j’me preén pa lé otre é mèm ke komm ça gé rien du tou ! Maintnan j’peu voar ton fling’ ? Allééééééééééé ! Aprè j’s’rai sage !
-Cessez vos sottises, intrus ! Hurla une voix inconnue, faisant sursauter…personne.

01 : 27 PM, Toujours la même caverne sous le « Chaotic Sporting Club »
Erezius se tenait a l’une des entrée de la grotte, escorté d’un groupe de fidèle a l’aspect presque inquiétant. Il avait a la main un impressionnant marteau de guerre qu’il utilisait pour frappait l’un de ses subordonné, celui qui avait osé lui voler la réplique qu’il comptait lancer en entrant dans la pièce. Sa besogne terminé, il avançât d’un pas et brandissant son marteau vers nous pris la parole
« -Comment osez vous vous introduire chez moi, invalider le petit personnel, maltraiter mon familier, dévaster ma décoration et amener avec vous un Snot !
-Dans l’ordre : Je vais ou je veux, je cogne tout ce qui me dérange, le poulet m’avait cherché, c’était moche de toute façon et je préférerais ne jamais avoir vu ce snot.
-Et…
-La ferme ! j’ai répondu a tes questions maintenant tu réponds au miennes ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Que sais-tu sur le meurtre d’Almoul ? C’est quoi ce marteau ?
-Je suis ici chez moi, je me prépare a prendre le contrôle de l’univers…
-Rêve…
-Ne m’interrompt pas, je réponds a tes questions ! Je vais prendre le contrôle de l’univers grâce au meurtre d’Almoul et grâce a ce marteau.
-Et comment ça ?
-C’est l’un des marteaux de puissance !
-Kezako boss ?
Pas la moindre idée Merak. Tu sais bien qu’Erezius c’est toujours fait des films au sujet de ses «sois disante « armes ultimes » qui valent a peine le contenu d’une pochette surprise.
-Riez, pauvre fou, t’en que vous le pouvez ! Les Marteaux de puissance ont été forgé il y a fort longtemps par des puissances supérieures ! Trois marteax furent forgés pour les Eldars, qui ne les ont jamais utilisé car il ne sont pas foutu de soulever une aussi grosse arme. Sept pour les seigneurs squats au fond de leur forteresse inchauffable. Neuf furent donné aux seigneurs des hommes. Comme personne était d’accord sur leur identité ont les a refourgué a neufs Primarques choisis au pif. Les neufs Primarques qui se sont rebellé contre l’Empereur ! Et celui-ci est le maître marteau, c’est écrit dessus :
Un marteau pour les cogner tous, un marteau pour les écraser,
Un marteau pour les latter tous et dans les parties les frapper
-Si je te suis, tu veux dire que la moitié des Primarques ont trahi parce qu’on leur a refourgué un vieux maillet pourri ?
-Ben oui, tu crois que ce jeu s’appel Warhammer pour quoi ? Qui utiliserai encore un marteau en l’an 40 000 ?
-Ouais, admettons. Et Almoul la dedans ?
-Almoul possédait quelque chose qui pourrait faire de moi l’homme le plus puissant de l’univers !
-Et c’est quoi ?
-Quelles sont les choses les plus dangereuses dans cet univers ?
-La pire menace de l’univers c’est moi, la seconde c’est mon unité et la troisième les chanteurs de country !
-Exact. Comme je ne pouvais m’assurer d’obtenir tes services ou ceux de tes hommes, j’ai du me rabattre sur la troisième solution.
-Des chanteurs de country ? Impossible, cet engeance maléfique a été exterminé par l’Empereur quand il a compris à quel point leurs actes infâmes nuisait au développement intellectuel grâce a une étude mené sur une population d’origine texane !
-Mais l’Empereur ignorait tout de la collection d’Almoul !
-Des vieux Vinyle de country ?
-Pire ! Il collectionnait les caleçons des plus grand chanteurs de ce genre de musique du 21ième siècle !
-OH MON DIEU !!!
-Grâce a mes pouvoirs et a la science, j’ai pu prélever l’ADN de ces caleçons et j’ai commencé a cloner des chanteurs de country !
-IL A CREER DES MONSTRES !!
-Lorsque j’en posséderai suffisamment, je les enverrai a travers tout l’univers, il s’en suivra inévitablement une régression intellectuelle généralisé qui aura tôt fait de rééxpédier les races les plus évolués à l’âge de pierre !
-Pierre polie ou taillée ?
-Ben… euh… j’en sais trop rien moi. C’est vraiment important ?
-Pas qu’un peu. C’est pour savoir si je dois te demander poliment d’arrêter ou si on te taille tout de suite !
-Vous ne pouvez me vaincre, mes clones sont invincibles !
-Oui, a un détail prêt.
-Et lequel ?
-T’as que la troisième menace sous la main, les deux premières vont te pourrir presto et ont investi dans les boules Quies pour se prémunir de la troisième !
-Cela ne suffira pas, j’ai des centaines de chanteurs de country à mes ordres !
-Gorek, sors l’arme secrète ! Le Lance Boule Quies ! Il fonctionne a l’inverse des sirènes de Slaanesh : au lieu d’être bruyant il empêche sa cible de parler ! Cette arme n’a aucun intérêt mais maintenant elle devient : NOTRE ARME SECRETE !
-Sergent, vous venez de tout dire.
-Oui, et ?
-Je pense qu’on peut plus appeler ça une arme secrète !
-Je vous ordonnes d’oublier ce que j’ai dit.
-Nous on veut bien, mais c’est surtout que vous avez tout dit a l’ennemi.
-Ils n’ont qu’a suivre mes ordres Merak ! C’est pas compliqué !
-J’veux pas.
-Erezius, commence pas ! Je suis sergent, en temps qu’ancien de notre unité tu es encore à mon service pour les 4300 prochains siècles !
-Et depuis quand ?
-Fallait pas signer le contrat d’embauche si ça te convient pas !
-Ca n’y apparaissait pas !
-Il était dit que tu ferais toi-même les recherches concernant les conditions d’embauche habituelle !
-J’ai essayé, je me suis perdu dans les annexes qui renvoyé a d’autres annexes qui elles même demandé de consulté des projets de loi jamais voté ou encore des lois concernant des planètes hors de se secteur de l’univers !
-Un contrat est un contrat !
-Tant pis ! C’est la guerre !
-Toute façon dans ce futur il n’y a que ça.
-Simeon, arrête de dire n’importe quoi !

je suis fan,ya pas à dire!

Je suis accro.... j'ai besoin de ma dose quotidienne.... écris vite! (merci^^)